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    copie?...du sujet oui....la façon de peindre n'est certainement pas celle de l'artiste...tant pis ..ou tant mieux....


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  • Il paraît que c'est la nuit ...sans bien arriver à la réaliser, j'ai toutefois compris la technique.....je préfère de loin les petites fleurs de haie


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  • Les couleurs sont plus vives dans la réalité, il fait toujours gris quand je photographie.......les petites fleurs faites à sec c'est plus dans mes cordes.....


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  • J'ai essayé de faire couler les couleurs du fond comme elle le préconise mais ce n'est pas évident et j'ai fait les arbres à sec à la fin, heureusement qu'il y a les arbres pour racheter le fond.....

    Quel couchant douloureux nous avons eu ce soir!...

    Dans les arbres pleurait un vent de désespoir

    Abattant du bois mort dans les feuilles rouillées....

    Vieil or, rose fané, gris de plomb, lilas pâle,

    Oh! C'est fini, fni! Longuement le vent râle... (J. Laforgue )

     


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  • Le panier et les poires , c'était facile car j'ai déjà fait ça, par contre le fond avec ce papier qui refuse le pigment et les retouches à sec....pas évident


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  • Je me demande pourquoi cette peintre ne peint que des filles qui font la tête.....c'est bizarre...eh bien maintenant je vais me mettre à deux aquarelles de mon cru : un portrait et des arbres...

    Je brûle de peindre celle qui m'est apparue si rarement et qui a fui si vite, comme une belle chose regrettable derrière le voyageur emporté dans la nuit. Comme il y a longtemps déjà qu'elle a disparu Elle est belle, et plus que belle... ( Baudelaire )


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  • Un rayon de soleil m'a permis la photographie ..enfin.......

    A qui dira-t-elle sa peine,

    La fille qui n'a point d'ami?

    La fille qui n'a point d'ami,

    Comment vit-elle?

    Elle ne dort jour ni demi

    Mais toujours veille. ( Christine de Pisan )


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  • un nouveau genre.....j'ai eu du mal à photographier ...il n'y a guère de luminosité......

    Le vent, le froid, le crépuscule,

    Le silence ondoyant qui s'étale et circule

    Par la forêt mouillée où je me hâte,

    Un peu de peur, de rêve et de mélancolie,

    Un brusque oiseau posé sur un rameau qui plie

    Et se balance dans l'air pâle ( F.Gregh )

     


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